Bonne pratique
Les « dimensions » de chaque fonctionnalité doivent être définies précisément et dans leur ensemble. Il peut s’agir d’un taux de compression pour les images de l’interface graphique, du temps de réponse maximum pour une requête HTTP, du nombre d’items affichés dans une liste, etc.
Plus les « dimensions » et exigences associées à chaque fonctionnalité collent au métier, plus on évite la surqualité. La logique doit donc être inversée par rapport aux habitudes actuelles. Si une information n’est pas précisée, c’est le niveau de qualité ou la quantité minimale qui est proposé. Par exemple, en l’absence de précision, le nombre d’items d’une liste est limité à 5 éléments ou au nombre maximal affichable sur le plus petit écran cible de l’application.
Les valeurs par défaut, rarement modifiées par l'utilisateur, doivent être choisies pour répondre au besoin avec un impact minimal.
Le "Référentiel d'écoconception web (REW)" est publié par GreenIT.fr dans le cadre des travaux du Collectif conception numérique responsable selon les termes de la licence Creative Commons Attribution.
Nous pouvons fixer des objectifs sur des métriques clés en définissant des tailles maximales pour les assets tels que les images, et en fixant des scores palier avec Google Lighthouse et EcoIndex.
Par exemple, pour les images, nous déterminerons un taux de compression optimal. Pour les listes d'items, nous définirons par défaut un nombre limité d'éléments affichables selon les spécifications du plus petit écran cible, garantissant ainsi une performance et une efficacité maximales.
Règle de validation
Le nombre de fonctionnalités avec des dimensions supérieures au besoin doit être inférieur ou égal à 0
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